Je consulte la plaquette de présentation ICI
Le 11 mars 2017, Sébastien Destremau termine bon dernier du Vendée Globe quelque 50 jours après le vainqueur. Son histoire rocambolesque passionne le public et les médias. « De là-haut, je suis sûr que mon père, avec qui ce fut si difficile, me regarde … »
Parti avec 28 autres marins solitaires, Sébastien traverse une série impressionnante de difficultés. La peur, la solitude, la casse, les blessures, les larmes, une multitude d’épreuves morales et d’avaries techniques.
« Le Vendée Globe est une course sans escale, sans assistance et sans pitié… Les grands fonds me terrorisent … Qu’est-ce que je fous là ? Putain ! … »
Une vie unique, authentique et insolite à découvrir…